Il existe une version plus récente de cet article sur mon nouveau blog, ça se passe ici!
Aujourd'hui j'ai envie de parler de procrastination. Ca revient souvent dans les blogs ou livres de développement personnel, comme l'ennemi numéro un qui nous empêche de nous élever vers notre vraie valeur en nous détournant de l'effort. Il existe une version beaucoup plus bienveillante de la procrastination et c'est celle-là que je propose d'explorer ici.
Aujourd'hui j'ai envie de parler de procrastination. Ca revient souvent dans les blogs ou livres de développement personnel, comme l'ennemi numéro un qui nous empêche de nous élever vers notre vraie valeur en nous détournant de l'effort. Il existe une version beaucoup plus bienveillante de la procrastination et c'est celle-là que je propose d'explorer ici.
La procrastination est un symptôme, pas une cause !
Si on n'arrive pas à se mettre à quelque chose c'est souvent beaucoup plus subtil qu'une simple flemme (et d'abord pourquoi la flemme serait-elle simple d'ailleurs ?), c'est plutôt le symptôme subtil et déguisé que quelque chose ne va pas. Et comme on ne tente pas de vider une baignoire à la petite cuillère si tous les robinets sont ouverts, il ne sert à rien de combattre la procrastination sans chercher la cause sous-jacente. Ca peut même être dangereux ! Par exemple, si je procrastine parce que je suis proche du burn-out, alors chercher des moyens pour travailler encore plus dur va me pousser à bout.